Lettre ouverte
Le mot du jour, en relation avec l’actualité de notre PLU (cf infra, après la définition) est, en l’occurrence une locution…
Wikipedia y fait référence ainsi :
Lettre ouverte
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Une lettre ouverte est un texte qui, bien qu’adressé à une ou plusieurs personnes en particulier, est exhibé publiquement afin d’être lu par un plus large groupe. Pour ce faire, c’est le plus souvent la presse qui est utilisée comme média, mais une lettre ouverte peut également prendre la forme d’une publication à part entière, d’une affiche, d’une chanson(Lé Déserteur), d’un tract, ou plus récemment être mise en ligne sur Internet, etc.
Même si ce n’est pas nécessairement le cas, une copie de ce texte peut parallèlement être expédiée en privé par le système postal, à l’instar d’un courrier habituel. L’intérêt de cet envoi reste toutefois limité, le but d’une lettre ouverte étant moins d’obtenir une réponse de son destinataire, que de propager ses opinions auprès du public qui y est exposé.
En effet, le ton est généralement polémique, et la lettre ouverte se rapproche plus de l’article engagé, de l’éditorial ou du pamphlet, que de la lettre traditionnelle. On s’en éloigne encore lorsque le ou les destinataires ne sont pas désignés nommément, mais identifiés par une formulation du type « à tous ceux qui… ». Une lettre ouverte peut également être co-signée, s’apparentant alors à une pétition.
Les destinataires sont souvent des responsables politiques, mais on peut trouver des lettres ouvertes dans d’autres domaines, par exemple dans des revues scientifiques sur des questions d’éthique.
Certaines lettres ouvertes sont passées à la postérité, telles que le J’accuse rédigé par l’écrivain Émile Zola à l’intention du Président de la République Félix Faure, et publié dans le journal L’Aurore du 13 janvier 1898 : en pleine affaire Dreyfus, il y prend la défense de cet officier condamné pour Haute trahison.
Dans cet esprit mais sans volonté polémique (*) aucune, le collectif »Parce que Saint Rémy le vaut bien », notre collectif associatif et citoyen, a commis (**) une lettre ouverte (lien ici) à l’attention formelle de notre premier édile.
Mais, bien évidemment, l’objectif premier de ce courrier est de mobiliser tous les Saint-rémois afin que les résultats de l’enquête publique et leur traduction dans les conclusions du commissaire-enquêteur s’appliquent au mieux de l’intérêt de la collectivité.
Et, faire savoir que nous sommes tous vigilants quant aux suites qui seront données, est un autre but de cette publication, afin de dissuader toute tentative de passer outre (***) … La pétition de l’année dernière doit-elle être rappelée au bon souvenir de quelques élus trop oublieux ?
Le rapport du commissaire-enquêteur ne doit pas rester lettre-morte !
AHQR
(*) cependant, si vis pacem para bellum si tu veux la paix, prépare-toi au conflit (afin qu’il ne survienne) ou, encore, mieux vaut prévenir que guérir.
(**) et dont, remercions-en les éléments les plus moteurs, Jean-Marie RADTOWSKY & Yves DARCOURT LEZAT, la rédaction initiale leur est due.
(***) Ceux qui auront lu l’article « Urbanisme » publié dans notre dernier bulletin comprendront notre préoccupation : « Monsieur Bavoil, Maire-Adjoint à l’urbanisme, précise, au cours du Conseil Municipal du 23 juin 2009, que la Municipalité n’est pas dans l’obligation de tenir compte des conclusions… [du rapport d'enquête publique]… ».
De même, les échos obtenus quant à la future délibération du 30 juin ne laissent guère présager la meilleure suite.
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